Mot-clé: Voyageur
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Those bikers we see on the road
Tous les cyclotouristes rêvent d’Orient sauvage, de levers de soleil et d’instants authentiques avec les habitants d’une chaumière chauffée au poêle à bois. C’est pour ça qu’on les rencontre sur la même route ! Celle qui relie l’Occident à l’Orient, de la Turquie à Samarkand, jusqu’à Kashgar aux fins fonds de la Chine. (english - français)
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Johannes Moll
Nous rencontrons Johannes alors qu’il arpente en auto-stop les routes de l’Andalousie en compagnie d’un compagnon néo-zélandais croisé inopinément et lui aussi en vadrouille depuis plus d’un an. Tous deux montent à bord de Marguerite et Johannes se prête au jeu de nous raconter ses rêves...
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Vers l’Asie centrale en vélo !!!
J’ai trouvé l’idée amusante quand François et William m’en ont parlé pour la première fois. Pourquoi ne pas continuer l’aventure en vélo ? (...) |
Noël dans une crèche algérienne
Quoi de plus normal que de passer Noël dans une crèche ! La particularité, c’est qu’elle est algérienne. Omar nous attend et avec les enfants on va essayer de chanter « Petit Papa Noël ». C’est parti ! (...) |
Le cadre et les marges
Se sentir à la marge, c’est parfois de la même façon se sentir dans le cadre... un peu dedans, un peu dehors. De plus en plus nous apparaît que cette gymnastique est inévitable pour nos existences. Les sourires que l’on partage sur la route sont un peu pareils. Il y en a des très sauvages, des dissidents ou bien des très sages. Mais toujours, ils sont beaux et surprenants. Cent visages !.
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Télé ambulante
L’Argentine est grande, très grande, plus de quatre fois la France avec pas moins de 5000 kms depuis Ushuaïa, extrême sud, jusqu’à Jujuy, extrême nord. C’est une moitié de Chine avec 30 fois moins d’habitants. On s’y sent parfois petit, un peu perdu au milieu de ses immensités, au milieu d’une faune parfois dangeureuse, au milieu des sourires, au milieu des droites infinies qui semblent indiquer le chemin de l’ailleurs - resumen en castellano.
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Vivre dans une cabane, en voilà une idée !!
Depuis Tom Sawyer et les aventures d’Huckleberry Finn, c’est une idée qui n’en finissait pas de trotter dans ma "cabeza". Hé bien c’est fait, je vis dans une cabane, parmi les arbres. Une vraie, tout en bois. La cuisine-cocina est à bois, la douche-ducha a l’extérieur, les toilettes-bano à la sciure. Nous vivons dans la jungle, enfin, à la lisière de la jungle dans ce que l’on a coutume d’appeler la selva, la selva sauvage.
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El nuevo camino de Zanella
Poisson d’avril ! Elle s’appelle Zanella. C’est son nom d’origine, comme le moteur d’ailleurs qui est aussi d’origine. Elle fait 50 cm3 et on peut dire qu’elle attendait une nouvelle vie depuis les années 1990 à Rio Gallegos en Patagonie. C’est fait avec le garage El Camino et la fondation Rincon del Arte de Rio Gallegos. Voici la nouvelle destinée de Zanella. Allumage !
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Con el viento de Patagonia
S’il y a bien un truc qui n’abandonne jamais en Patagonie, c’est bien ce foutu vent, si sympathique quand on l’a dans le dos et combien catastrophique dans l’autre sens. Il donne des formes aux paysages décapés de la pampa, fait parfois un boucan d’enfer et tout d’un coup plus rien, enfin presque. Il nous accompagne toujours d’un frou-frou en mouvement. Arrancar !
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Etre un voyage
Voici un reportage exceptionnel sur l’échappée belle de deux biclounes arrivés un beau matin du mois de mai sur le continent ottoman. La caméra embarquée et les micros balayés par le vent n’ont pas flanché. Chapeau ! Les paysages et visages de la Turquie défilent avec une chanson inédite jouée aussi à l’embarquée sur les vélos... enfin presque ! Attention, mal de fesses assuré !!
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Libre et audacieuse Marguerite
Partir. Marguerite était là et nous regardait de ses deux mètres au garrot. Jamais, ô grand jamais elle n’aurait imaginé nous laisser partir seuls à la découverte des pistes, des sourires, des ports et des visages de l’Afrique. Sans elle, peut-être n’aurions nous jamais été tentés par un voyage au long cours. Alors, puisque nos routes se séparent aujourd’hui pour quelques temps, hommage à celle qui pendant plus d’une année nous a accompagné, transporté, materné. (...) |
Au boulot enfin !!!
Il paraît que pour réussir dans la vie, il faut bosser !! C’est comme ça ! On doit s’y mettre à un moment où un autre. Alors pour rassurer nos familles (un peu !!!), voici en images, un condensé de nos journées de travail entre téléphone et ordinateur, mécanique et cuisine, réunions et entretiens, chants et chorégraphies, textes et images. Le tout sur une musique d’une autre époque interprétée par deux rossignols débutants. (...) |
100 visages pour Noël
Voici une troisième surprise ! Pour ce Noël, nous avons choisi cent images parmi celles des mille et une âmes que nous avons croisées pendant nos dix premiers mois de traversées sur ce continent si attachant qu’est l’Afrique de l’Ouest. Ces images sont pour nous plus belles que toutes les autres. Les voici avec des paroles et une musique composées par ...chut... c’est une surprise !!!
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Bonjour à toi Maghreb ! Adieu Afrique de l’Ouest !
L’heure est venue de quitter l’Afrique de l’Ouest ! Eh oui, il fallait nous séparer un jour ! Direction l’Algérie en se faufilant par l’immense corridor désertique et ouvert du Sahara. En sortant par Arlit au Niger, nous avons rencontré des pistes, des dunes, le sable de l’Aïr, les monts du Hoggar, Sébastien un compagnon voyageur, Omar un musicien touareg et enfin l’Algérie. Attention moteur ! (...) |
Nuits africaines
En Afrique de l’ouest, quelque soit la saison et où que vous soyez, votre rythme de vie compose avec douze heures d’obscurité. C’est pas facile !!! Il faut apprendre à vivre dans le noir et à se coucher de bonne heure ou, c’est une alternative, vivre sous les spotlights et embrasser la chaleur des nuits tropicales. Alors, éteignez la lumière et ouvrez les yeux !!! (...) |
Y’a pas de sots métiers... le retour
Vingt deux métiers de l’Afrique de l’Ouest, croisés pendant nos transits et nos escales, se présentent à tour de rôle en une image et quelques mots. Il y a un pompiste, une vendeuse d’arachides, un réparateur de vélo, un boulanger, un cuisinier, un jardinier... et ce n’est que le début !
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24 heures dans la vie de Traversées
Pour nous, la route défile sans que nous nous en rendions vraiment compte. Les journées sont pleines de ce voyage à travers l’Afrique, avec ses rituels, ses découvertes, ses rencontres, ses partages. Voici en image, 3 minutes de 24 heures passées à nos côtés, trois minutes d’un monde imaginé, cajolé, bercé... comme un bébé. (...) |
Le Sénégal encore, du côté des villes et des ruelles
Voici quelques images des villes et des ruelles que nous parcourons avec Marguerite, en taxi ou en bus. A elles seules, les rues des cités et tout ce qui s’y passe sont un monde à part entière : elles grouillent, elles mélangent les genres, les sons, les styles, les comportements. Puis il y a des paysages plus paisibles dans lesquels on puise de la tranquillité.
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Le Sénégal en visages
Rencontrer l’Afrique, c’est d’abord rencontrer les gens qui y vivent. En Afrique, vous n’êtes jamais seul, toujours quelqu’un pour vous parler, vous demander comment vous allez, comment vont la famille et les affaires. Rencontrer l’Afrique, c’est d’abord rencontrer des milliers de visages, de sourires. Pour quelques minutes ou quelques heures.
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Traversées sur les pistes du Sénégal
Marguerite, l’équipe mobile de Traversées, les pistes et les paysages arides du sud Sénégal. Tout cela réunit sur 1 minute et 30 secondes en vidéo sur fond de musique afro-américaine. Il faisait un peu chaud le jour du tournage mais nous avons eu de la chance. Allez-voir pourquoi...
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Le sud du Maroc
Du 7 avril au 15 avril... Notre descente vers le sud continue doucement. Nous prenons notre temps. Les rencontres se multiplient, le plus souvent de façon furtive, mais quelque fois de façon profonde et sincère comme cette belle soirée qu’Habib, petit paysan, nous offre en compagnie de ces frères et amis, le temps d’un couscous et d’une soirée que nous n’oublierons jamais...
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Le nord du Maroc
Du 26 mars au 7 avril... nous foulons pour la première fois les terres du Maghreb. C’est réellement le début du voyage. Nous sommes quelque peu anxieux. Les repères vont changer. C’est ce que nous sommes venus chercher. Alors...
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Espagne
Nous avons bourlingué en Espagne du 11 au 26 mars 2004. Le temps pour nous de vivre malheureusement les attentats de Madrid, la victoire du parti socialiste espagnol aux dernières élections, de courir après les cybercafés et la rédaction du site web...
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Etre un touriste
L’autre jour quelqu’un m’a demandé si je me sentais « touriste », l’insulte suprême pour tous les voyageurs au long cours. Dans un premier temps, j’ai donc répondu assez ferme : « non !! »... et aussitôt je suis revenu sur ma réponse et j’ai ajouté : « oui, des fois ! ».
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Changer de chaîne ... et régler la lumière.
Assoupi ou simplement fatigué d’ingurgiter les mêmes âneries télévisées, il se peut que vous ayez envie de changer de chaîne en espérant, pour une fois, rencontrer quelque chose, un programme, un truc, n’importe quoi susceptible de vous emmenez ailleurs. C’est ce qu’on vous propose ici. Un dernier petit effort : appuyer sur les touches de la télécommande, quelque part se cache le film de votre vie.
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Saigner
Il arrive parfois qu’un trop plein de ras le bol doublé d’une expérience malheureuse fasse déborder le verre de ce que l’on peut supporter dans un monde qui sous certains aspects fonctionne à l’envers. Après avoir régler ses comptes Léo se voit souffrir d’une révélation qui nous taraude tous en silence : se sentir responsable et impuissant de la marche d’un monde où les droits élémentaires des vulnérables se voient bafouer à longueur de générations.
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Penser
- La prochaine fois, ce sera fait je te promets. (...) Le patron du Cromañon avance la main et remet deux billets de cent pesos à une autre main, en or, de flic : Je préférerais, dit-il, sinon toi et moi, on sera plus copains. |
Régler ses comptes
Voyager, c’est aussi et surtout rencontrer d’étranges personnages, qui chacun à leur façon, transportent avec eux quelques morceaux d’humanité et beaucoup de certitudes. Dans un dialogue à plusieurs, perdu dans l’espace et le temps, Léo règle les comptes de ceux qui, loin de leur repères et de leurs habitudes, croient que le monde autour d’eux est contre eux jusqu’à en oublier que c’est le monde d’où ils viennent qui les dévore sans aucun scrupule.
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Ecouter sa musique et danser... maintenant
Maintenant adossés au mur, ils s’amusent à contempler les danses qui se jouent autour d’eux. Ils contemplent les mouvements et les pas, les regards et les sourires, les cheveux et les corps. De la sensualité, partout. Rien que ça. Depuis quelques minutes déjà, son bras a pris l’habitude de frôler le sien. Elle ne parle pas beaucoup, lui non plus d’ailleurs. (...) |
Léo et son monde - Acte II
Je suis allongé. Il fait noir. Il y a quelques minutes, l’appel du muezzin pour la prière du matin m’a presque réveillé. Dans un demi-sommeil, dans cet espace-temps bizarre où les rêves et la réalité se confondent, j’écoute Enèris me parler tendrement du monde qu’elle entrevoit au sortir de l’amour.
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Embrasser les coeurs
Alger at night ! Un bar aux allures de cave où les âmes perdues viennent mourir, un peu. Léo fait la rencontre inopinée, d’une « princesse d’un soir » accompagnée d’une sirène. Elles lui proposent de plonger dans le monde de la double V, où il se laisse glisser, le temps d’une soirée.
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Croire...
Marguerite avait le coeur ouvert. De chaque côté du compartiment moteur, juchés sur un bloc moteur usagé ou grimpés sur des vieux pneus empilés en guise de tabourets, une quinzaine de gosses, tous apprentis, constataient comme nous et le chef mécanicien l’ampleur des dégâts.
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Léo et son monde - Acte I
Je suis assis devant la grande table réservée aux ermites de passage. Il est à peine 8h00, je me suis levé à 6h00 pour aller courir et comme chaque matin depuis quelques jours les frères de l’ermitage m’ont préparé un copieux petit déjeuner. Dans cette petite pièce où je suis seul et qui sert de réfectoire, entre Jésus et Marie, je regarde le jour se lever à travers les persiennes. Je suis bien. Je rêve. (...) |
Les anneaux
C’est l’histoire d’une princesse, une princesse tellement belle que tous les jeunes garçons de son village, un village du grand désert d’Afrique, voulaient l’épouser. Mais la jeune princesse avait depuis longtemps réservé son coeur pour un jeune artisan. Tous deux s’aimaient follement et n’espéraient qu’une chose, pouvoir se marier.
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Boire le thé
Toutes les femmes étaient dans la cour quand je suis arrivé. Une cour classique où siégeaient l’unique robinet d’eau et les toilettes. Tout autour s’organisaient les maisons et les chambres des grands-parents, des parents, des frères, des cousins. Les bassines étaient posées à même le sol et accueillaient comme chaque jour la lessive familiale. (...) |
Traverser les déserts... deuxième manche
J’avais du m’endormir sans m’en rendre vraiment compte parce que quand j’ai entendu bouger dans la voiture et que j’ai aperçu Félipé de l’autre côté de la vitre en train de préparer son sac, j’ai senti sur mon visage l’empreinte de la spirale du carnet que je gardais toujours à mes côtés. (...) |
Traverser les déserts
Accrochés à la voiture, je crois qu’on devait bien dénombrer entre dix et quinze guides officiels maures qui nous proposaient de nous aider à traverser le désert jusqu’à Nouakchott. Ils étaient pas plus guides officiels que je n’étais douanier. Je sais pas d’où ils étaient sortis, ils avaient stoppés gentillement la voiture en nous faisant signe du bras et on s’était arrêté. Evidemment.
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Franchir... les portes
As-salam`alay koum !! Devant cet élégant bonhomme qui faisait office de douanier au poste frontière de Beni-Enzar, je me suis appliqué tant que je pouvais pour répéter le « bonjour » que je venais de lire dans le guide sur le Maroc. Apparemment, je m’étais pas trop mal débrouillé puisqu’il a répondu. |
Ah ! Partir !
Ca faisait pourtant déjà quelques temps que je me préparais à ce moment. Le moment où inéluctablement il fallait attraper le volant et tirer simultanément sur ma jambe et mon bras pour grimper dans le camion. |
Grandir le monde avec des fleurs
Une graine de fleur vit dans un pays, où l’été brille d’un soleil à adorer la vie, petite semence, fabriquée dans une jardinière, avec les fleurs urbaines d’une terrasse immobilière |
La N40 où l’on voyage sur écoute
Pas un brin de vent aujourd’hui sur la nationale 40. Il y avait toujours jusqu’à présent une petite brise ou une grosse soufflée de passage sur la surface patagonienne. Mais là, silence. Le ventilateur fait la trève. On dirait que la pampa toute entière s’est mise à retenir son souffle et à écouter ceux qui caracolent en surface. Le silence est rare, beau, limpide. On voyage sur écoute.
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Danser jusqu’à l’aurore
Sandra, 27 ans, est venue sur Cordoba pour acheter des fringues qu’elle revendra pour faire monter ses revenus sur Tucuman. Elle danse, elle danse vraiment bien. Elle en a besoin. C’est vendredi soir et en l’accompagnant, on vibre, on fibrille du corazon, puis on esssaye de guérir le lendemain avec l’aide de l’encre et de la plume.
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Entre nulle part et quelque part
Il faut remercier les lieux déserts, dénudés, longs, larges, vides et silencieux pour la disponibilité et la simplicité qu’on y trouve. Les lieux où le décor est décapé, simplifié, lorsque l’horizon est là, ouvert, disponible, talonné par une route qui voudrait y aller tout droit.
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Au plus austral
Alors le bout du monde, c’est comment ? Etrange, excitant ? Extraordinaire, banal, sauvage ? Ben... c’est comme le fin fond, le début, le point d’orgue, le néant, l’unique, l’échappée, le bagne. C’est bleu, clair, limpide, pur. C’est réel, magique, contradictoire. Un pays où les imaginaires se sont donnés rendez-vous.
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Eclaircie en Patagonie
Le vent veut que tout le monde foute le camp, les arbres, les arbustes, les cabanes, les maisons, les nuages, et la pluie - Patagonie évidemment. Mais voilà le soleil concentré en rayon. Arrêtons tout : l’éclaircie est trop belle ! |
Une grande vadrouille
Petite histoire baroudeuse et poétisée d’un jeune ingénieur francais vacacionant en terre australe, à qui il arrive des bricoles, une embrouille, une rencontre et au bout du compte une grande vadrouille. Merci aux vacanciers français rencontrés entre Ushuaia et Rio Gallegos qui ont secrètement mis leurs mots dans cette histoire.
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Sur les routes de Patagonie
Journées tanantes ! Le vent a soufflé à fond les ballons de l’ouest, sommeil à petite dose la nuit dernière dans la pampa, de la pluie... et le re-départ, le commencement d’une nouvelle route, le vent qui souffle, le silence................ la vache, c’est grand ici aussi !
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Tout m’est égal si je suis ivre !
Chapeau au désert du Taklamakam de nous réserver des lieux si étonnants, mystérieux et lunaires. Quand on se ballade là-dedans, on ne peut plus s’arrêter, on continue à rouler, comme si l’on plongeait. "Tout m’est égal, je veux simplement rouler, sur une route en hiver ennivré, pour une étoile tout là-haut allumée, échappée belle, avec elle, sur les sentiers".
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Cinq idées suspendues aux étoiles
La nuit tombée dans le Taklamakam, je me demandais comment réussir à trouver le sommeil. 120 km, route en bon état, longue, tracée au cordeau. Le froid rentrait par tous les bouts. Il était arrivé comme un rideau épais qui clôture le spectacle. Tout d’un coup, piquant, envahissant, aride comme le désert.
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Magie de la terre, voyagerie salutaire
C’est une maladie magnifique, une sorte de voyagerie chronique qui m’a pris. Elle s’est logée dans ma peau, elle a fait de moi un môme, qui a la bougeotte, qui apprend tout un tas de choses de pays en pays. Evidemment, c’est mieux de parler de tout cela en poésie et en musique !
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A Shida’s story : The traveler
We met Shida in Tehran and she wrote this story for travelers... « As a child I had a small map of world glob, when I cupped it in my small hand, I felt so safe and its blue color of the seas gave me peace and calm.
I used to close my eyes and turn the glob round and round...
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Une Ebène, une ode aux Perdus et aux Départs
Il faut inspirer assez fort de ce coté du globe pour se fournir en fumées baudelairiennes propices à la rime et aux chansons. Ce coup-ci, ca a marché ! Une chanson venant d’Afrique, baptisée Ebène, une autre venant du gouffre des Départs, et une troisième consacrée A ceux qui sont perdus sur une montagne et qui toujours demeurent reconnaissants et solidaires.
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La java des vélos
Oui, mine de rien, cela représente un défi d’avaler tous ces kilomètres pour traverser l’Asie centrale avec une paire de pédales, deux roues et quelques bagages. Depuis l’aube des temps, les chansonnettes encouragent les galériens à ramer. Pour poursuivre la tradition, voici une java d’un nouveau genre, la java du vélo intitulée Pousser sur des pédales ! La musique viendra prochainement...
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Impro orientale avec l’orchestre national d’Algérie
Quelques musiciens de l’orchestre national d’Algérie sont logés au Central Touring Hôtel à l’occasion d’un concert de fin d’année dans la capitale. Trois gaillards (il y a quand même une ou deux femmes dans l’orchestre) charmants acceptent notre invitation un soir de faire sonner leurs notes orientales sur un fameux Ya rajah algérien. C’est parti !
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Un « Petit Papa Noël » en charabia
Joyeux Noël ! Ca y’est ! Il est minuit ! C’est l’heure d’ouvrir tous vos cadeaux ! Lequel vous tente le plus ? Celui-ci ? Celui du dessus ? Ou ceux du dessous ? Allez, pourquoi ne pas commencer par celui-là !? Il est superbe, il est magnifique, il est gai, il est impatient d’être déballé, il n’en peut plus d’être coincé sur le web, ouvrez-le, n’attendez plus !!
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Sur une ligne de bitume entre Agadez et Niamey
Mille bornes de bitume lisse filent vers le nord d’Agadez à Niamey. Le soleil surchauffe et écrase tout : la moindre brindille, les pierres brunes, l’eau, l’air et la ligne d’horizon. La langueur a pris toute la place, tout notre temps. Ce long morceau de bitume est la seule ligne à défier l’horizon.
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Les délices d’Agadez en chanson
Vous rêvez d’évasion ? Le stress de la vie quotidienne vous accable ? Mettez vos soucis au placard et venez découvrir les délices d’Agadez, la cité touareg engloutie au milieu du désert. Aujourd’hui, promotion exceptionnelle ! Clique-ici, tu seras pas déçu !
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Une lettre de Claire qui revient du Pérou
Nous nous étions croisés dans la cour du lycée du Bois d’Amour de Poitiers avant notre départ en février dernier. Elle avait déclaré qu’elle rêvait de concrétiser son projet de se rendre au Pérou au mois d’août dernier. Depuis lors, le rêve s’est réalisé. Elle donne ici quelques impressions de son voyage et de ses rencontres.
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Etr’avoir
Voici, en chanson, l’histoire d’un gars qui aime avoir encore plus et davantage, et d’un autre qui préfère le rêve et le partage. Ces deux gars, en fait, ne font qu’un... et oui ! Découvrez l’intrigue de cette histoire en vous laissant valser sur l’air de cette mélodie écrite et composée par Traversées.
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Un pas dehors et je serai mieux dedans
L’Ouest africain est comme une pompe à chaleur qui arrose et réchauffe tous ses visiteurs du sourire de ses occupants. Combien voit-on de visages brandir des sourires ouverts, bons, malicieux, hésitants quelquefois, complices, dès l’instant même où ils font cette trouvaille d’apercevoir un blanc, étranger et différent. (...) |
Le parcours et la halte
Tout ça commence au commencement, lorsque l’on comprend que tous les chemins obligent à parler, et que toute parole évoque une absence. Alors, comme dans les contes, à chaque étape, on dépose quelques cailloux, non pas pour revenir comme le croient les enfants, mais pour savoir qu’un jour on était là avec quelques mots et qu’après on a marché de nouveau et imaginé d’autres phrases.
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Des raisons d’être en Casamance
Au milieu des lycéens qui se mobilisent pour construire une vision positive de la Casamance, au milieu des enseignants qui s’engagent pour mettre la culture au service de la paix, et parmi les habitants eux-aussi engagés pour changer les choses, comment ne pas vouloir brailler deux ou trois vers pour saluer toutes ces nobles raisons d’être !?
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Vos mandats de paquets de colis d’écriture
Spéciale dédicace à celles et ceux qui tapotent, saisissent et envoient des messages "aile-ctroniques" à l’équipe mobile de Traversées depuis le clavier de leur chaumière. Tous ces messages, constants, irréguliers, longs, courts, flous, vagues, exigeants, sont bourrés de réconfort et de carburant. Merci à vous, écrivains des îles lointaines de ravitailler nos pélicans...
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A l’orée des chemins africains
A l’orée des chemins africains, j’ai vu des ânes des poules et des chèvres avec un fil à la patte, montés sur une charrette. Un petit bonhomme noir et débrouillard les emmenait lentement lentement pour aller au marché. On aurait dit l’arche de Noë. J’ai adoré.
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Première pluie
Les pluies arrivent, nous entrons dans la mousson. L’atmosphère s’alourdit, la pluie envahit les rues, puis la fraîcheur nous soulage pour quelques minutes. La mousson nous accompagnera pour quelques semaines, le temps pour vous de profiter de nos deux voix de chanteurs débutants et de remercier le grand Georges pour ces belles paroles.
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Afrique, chaque jour je te revois et m’inspire...
Des beaux visages d’ Ngor, des soirées sans début et sans fin, à Foundiougne et sa plage d’or fin, d’un certain village de pêcheurs qui m’a tendu la main...Voyage sur un delta-Sineique, les sourires détendus... Céline est venue nous rejoindre dix jours ici au Sénégal...
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Dessine-moi un désert...
Prends trois couleurs : l’or, le bronze et l’azur. L’or apporte la lumière, l’azur la démesure. Le bronze la solidité. Le bronze envie l’or qui fait vivre l’azur. Les trois couleurs se retrouvent en un point. Trempe l’or dans le bronze, fais en mille variations.
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Blowing in the wind à deux voix, dans la nuit et dans le désert
Pour tous ceux qui auraient oublié nos jolies voix. Cette chanson a été enregistrée dans la nuit noire, en plein désert, avec une guitare et deux voies, un soir de pleine lune avant de sortir du Maroc. Merci au roi Dylan pour ces belles paroles.
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Vos printemps
de Fez, à Marrakech, en passant par Taroudannt A Habib, Youcef, Fatima, Amhid, Badaoui, Latifa, Souad et tant d’autres marocains... |
Je veux saluer ce monde
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Au tour de la terre
Jamais encore je n’avais brûlé, comme un cratère, à consumer ce seul projet, de tour de la Terre. Ma foi, mes idées, mon espérance, mes chimères s’ébattent en consonances drôlement solidaires. (...) |
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