Télé ambulante
L’Argentine est grande, très grande, plus de quatre fois la France avec pas moins de 5000 kms depuis Ushuaïa, extrême sud, jusqu’à Jujuy, extrême nord. C’est une moitié de Chine avec 30 fois moins d’habitants. On s’y sent parfois petit, un peu perdu au milieu de ses immensités, au milieu d’une faune parfois dangeureuse, au milieu des sourires, au milieu des droites infinies qui semblent indiquer le chemin de l’ailleurs - resumen en castellano.
Resumen en castellano
Argentina es un pais grande, muy grande, mas de cuatro veces la superficia de Francia con 5 000 kilometros desde Ushuaia, al sur, hasta Jujuy, al norte. Es una mitad de China con trenta veces menos de habitantes. A veces, te sentis chiquito, un poco perdido en el medio de las imensidades, en el medio de la fauna a veces peligrosa, en el medio de las sonrisas, en el medio de lineas indifinidadas que se van del otro lado del mundo.
Mini-film Télé ambulante (format WMV - 10 Mo) -> Arrancar !
La route défile et ne semble pas vouloir finir,
La voiture glisse et semble vouloir rouler toujours,
On se croirait dans le berceau d’un travelling sans fin,
On se croirait sur une autre planète,
Là où le poids de la terre domine de loin le poids des hommes,
Là où les arbres et la forêt t’écrasent pour te réapprendre à vivre,
Avec rien, comme avant,
Quand on était sauvage,
Quand on était libre,
De marcher, de vagabonder, de regarder le temps s’écouler au rythmes des rios,
De courir sur des chemins sans fins,
En attendant que la nuit nous attrape, nous avale,
Et que la lune nous accompagne jusqu’au bout,
De la route.
La voiture glisse et semble vouloir rouler toujours,
On se croirait dans le berceau d’un travelling sans fin,
On se croirait sur une autre planète,
Là où le poids de la terre domine de loin le poids des hommes,
Là où les arbres et la forêt t’écrasent pour te réapprendre à vivre,
Avec rien, comme avant,
Quand on était sauvage,
Quand on était libre,
De marcher, de vagabonder, de regarder le temps s’écouler au rythmes des rios,
De courir sur des chemins sans fins,
En attendant que la nuit nous attrape, nous avale,
Et que la lune nous accompagne jusqu’au bout,
De la route.
Mina Clavero - Argentine, le 23 juillet 2006.
